Objectif de KeysFinance : Trouver le Meilleur Acquéreur ou Investisseur pour ses Clients

Joël Cadier, Directeur Associé chez KeysFinance Partners, explique quelles sont les différentes étapes du processus concurrentiel, jusqu’à identifier le meilleur acquéreur ou investisseur potentiel pour ses clients par rapport au projet.

Joël Cadier, Directeur Associé chez KeysFinance Partners, explique quelles sont les différentes étapes du processus concurrentiel, jusqu’à identifier le meilleur acquéreur ou investisseur potentiel pour ses clients par rapport au projet.

« Une fois qu’on a un mandat de vente d’une cible, il peut être difficile d’engager un processus concurrentiel, même limité, quand les contraintes de confidentialité sont très élevées. Dans notre métier, lancer un processus concurrentiel consiste à solliciter 4, 5 voire 10 acquéreurs ou investisseurs potentiels, clairement identifiés par nous, sélectionnés et approuvés par le client. Il arrive que le client mette son veto sur l’un ou l’autre des membres de la liste, on l’en retire alors. Parfois le client ne veut pas que le marché sache qu’il est vendeur, et s’oppose même à la diffusion d’un teaser anonyme, qu’on pourrait éventuellement recouper avec son profil. C’est alors à nous d’identifier le meilleur acquéreur ou investisseur potentiel par rapport au projet, et à ne le solliciter que si on a un certain degré de certitude sur l’adéquation entre cet investisseur et notre cible. Après, notre client est prévenu qu’en l’absence de processus concurrentiel, on ne peut pas valoriser au mieux son entreprise. Dans le cadre d’un processus concurrentiel, on identifie les acquéreurs potentiels, on envoie un teaser anonyme, qui décrit en quelques pages l’activité, la région, donne quelques chiffres clés, mais on suscite généralement beaucoup d’appétit. On a de belles cibles ; si on sélectionne 8 ou 9 investisseurs ou acquéreurs potentiels, on va recevoir 8 ou 9 offres d’intérêt : en général, aucun ne se désiste. En phase 2, on n’en retient que 3, voire 4 en fonction du niveau de leur offre. Mais effectivement, aujourd’hui, il y a beaucoup plus d’acquéreurs ou investisseurs potentiels que nécessaire », explique Joël Cadier.

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