SCCONAS Assurances : Des Contrats Santé pour Employés aux Tarifs Intéressants

Elisabeth Akpess, Directrice Santé chez SCCONAS Assurances, explique comment un chef d’entreprise qui veut offrir un contrat d’assurance maladie à ses employés doit procéder et en quoi la SCCONAS est avantageuse à ce niveau.

Elisabeth Akpess, Directrice Santé chez SCCONAS Assurances, explique comment un chef d’entreprise qui veut offrir un contrat d’assurance maladie à ses employés doit procéder et en quoi la SCCONAS est avantageuse à ce niveau.

« Le chef d’entreprise devra venir vers nous. Mais le problème se situe au niveau des finances. Par exemple, la SIFCA a offert un contrat monde entier avec assistance et prévoyance, en un mot tout le package de Henner leur a coûté 200 000 euros. Toutes les entreprises ne peuvent pas faire pareil. Toutefois, il y a une demande. Lorsqu’il y a une limite au niveau du plateau technique en Côte d’Ivoire, nos assurés nous demandent de les mettre en contact avec d’autres structures. Pour revenir à votre question, un chef d’entreprise qui veut donner un contrat d’assurance à ses employés devra commencer par un contrat local. C’est-à-dire un contrat limité à la Côte d’Ivoire. En général, les entreprises ont plusieurs collèges. Le collège des cadres ou de la direction va avoir un contrat plus large compte tenu du fait que ces personnes voyagent beaucoup. Et, le reste des employés a un contrat local qui prend en charge les actes médicaux courants, les hospitalisations, l’accouchement, les soins ophtalmologiques et les soins dentaires. Nous avons des tarifs intéressants. Les tarifs d’ACS sont basés sur des critères d’âge et sur des critères géographiques. La palette est élargie. Il n’y a pas que le gros risque que nous offrirons dans le cadre de notre partenariat avec ACS. Nous allons aussi offrir de l’assistance aux étudiants, ainsi que des contrats pour les visas Schengen. Ces contrats seront très importants pour les entreprises qui ont des employés qui ont l’habitude de voyager mais aussi pour les parents qui envoient leurs enfants étudier en France ou ailleurs », explique Elisabeth Akpess.

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