Secteur des Emballages en Côte d’Ivoire : Avantages Concurrentiels de SONACO

Jérôme Meplon, Directeur Général de SONACO (Groupe Rossmann), explique quels sont les avantages concurrentiels de l’entreprise en Côte d’Ivoire et dans la sous-région.

Jérôme Meplon, Directeur Général de SONACO (Groupe Rossmann), explique quels sont les avantages concurrentiels de l’entreprise en Côte d’Ivoire et dans la sous-région.

« Nous avons tout d’abord un service commercial d’une grande compétence, à l’écoute du client et cherchant à comprendre en premier lieu quelle sera l’utilisation finale de l’emballage. Certains industriels ont parfois une idée précise de leur produit, mais la manière dont celui-ci va être stocké et transporté est beaucoup plus problématique. Nous mettons également à disposition de nos clients un service étude, recherche et développement, formé en permanence par le Groupe Rossmann. Nous disposons aussi de portails informatiques qui permettent au personnel du service de continuer à se former, de s’informer sur l’ensemble des activités et produits du groupe et d’accéder à tous les détails techniques. De plus, notre flexibilité et notre taux de productivité nous conduisent à produire des emballages très rapidement. Enfin, nous disposons de 8000 m2 d’espace de stockage, grâce auquel nous pouvons constituer un stock tampon, dépanner les clients et répondre précisément à leur demande de logistique. Nos clients sont de plus en plus exigeants. Les normes se sont mondialisées, les références et critères de jugement sont exactement les mêmes qu’en Europe, que ce soit en termes d’environnement, de traçabilité ou de qualité d’impression. Des audits sont réalisés régulièrement par tous nos clients, comme Nestlé, Cémoi, Cargill, Unilever, Castel ou Unifood. Ces clients ont des critères de qualité très précis, liés au secteur de l’alimentaire, et qui touchent à la fois l’environnement et la traçabilité de nos papiers – certains critères portent même sur la coupe des arbres et la culture raisonnée des forêts. Nous sommes dans l’obligation de répondre à ces exigences et sommes les seuls, dans la sous-région, à pouvoir se conformer à ce type de normes », explique Jérôme Meplon.

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