Avantages Concurrentiels de la Banque d’Affaires KeysFinance Partners

Joël Cadier explique quels sont les avantages concurrentiels de KeysFinance Partners, la banque d’affaires panafricaine de référence.

Joël Cadier explique quels sont les avantages concurrentiels de KeysFinance Partners, la banque d’affaires panafricaine de référence.

« Je dirais qu’au-delà des aspects quantitatifs et qualitatifs ayant trait à la finance, à la modélisation de schémas, à la compréhension et à la connaissance des options possibles, nous offrons une véritable expertise marché. Nous avons une vraie connaissance des entreprises de l’Afrique de l’Ouest, de leurs problématiques opérationnelles, de leur environnement économique, fiscal, politique, de leur mode de gestion, etc. Ayant moi-même été entrepreneur et dirigeant d’entreprise ou de groupe, je peux parler avec eux de problématiques auxquelles j’ai été confronté, de problèmes très opérationnels, ce qui permet de développer un lien de confiance avec le client, et d’avancer en associés vers un but commun, plus comme partenaire que comme conseil extérieur. Pas plus tard que ce matin, j’ai recommandé à l’un de mes clients un candidat pour un poste de directeur financier, quelqu’un que je connais depuis très longtemps. L’entreprise avait exprimé ce besoin et j’ai fait le lien. Ils se sont vus ce matin, ils vont signer demain et il commence la semaine prochaine. On m’appelle aussi pour ça. On devient un véritable conseil. Et du reste, lorsque nous travaillons sur le dossier de présentation de l’entreprise dans le cadre d’une recherche de financement, en dette ou en equity, ou sur une cession partielle ou totale, on met à plat l’ensemble des processus et du fonctionnement de l’entreprise, pour déterminer ses forces mais aussi ses faiblesses. Finalement, on travaille sur un SWOT (strengths, weaknesses, opportunities and threats analysis) classique, avec les menaces et opportunités du marché. On restitue notre analyse au client au fur et à mesure, on lui demande des informations, on le fait réfléchir sur le pourquoi, le comment, et parfois, en plein processus de cession, le client nous dit qu’il préférerait attendre un an. Parce qu’il réalise sur quoi il doit jouer pour éliminer une grande partie de ses faiblesses, il comprend les manques ou les erreurs qui ont été faites. Il peut s’agir d’un trop grand nombre de marques qu’il va falloir rassembler, d’une trop grande diversification, d’un trop grand nombre de sites de production qu’il va falloir réduire pour améliorer les marges… Nous lui apportons ce conseil, sans que ce soit du conseil stratégique, mais simplement parce que nous lui expliquons comment valoriser au mieux l’entreprise », explique Joël Cadier.

Scroll to top
Close